Comment reconnaitre la souffrance et gérer le stress au travail ?

Anne Jeanvoine

souffrance au travail

Pour pouvoir gérer la souffrance au travail, agir pour en diminuer l’impact sur sa santé, encore faut-il se rendre compte que l’on est stressé. Sans cette étape, impossible de mettre en place des solutions adaptées, parce que des solutions, il en existe un paquet et chez Lily, on y réfléchit depuis un bon moment déjà.

Contrairement à ce que l’on pourrait croire de prime abord, ce n’est pas toujours si simple de savoir que l’on est stressé. Quand la vie court à cent à l’heure, on oublie parfois de s’arrêter, de prendre le temps de regarder si tout va bien, d’écouter ce qui se passe en nous. C’est peut-être même la chose la plus difficile : se rendre compte, prendre conscience de son état et l’accueillir. Cela nécessite d’être à l’écoute de soi, et souvent, on ne perçoit pas les signaux du corps. Et puis, il faut bien le dire, le tabou autour de la souffrance au travail persiste et rend les salariés en détresse psychologique difficiles à identifier.

Les symptômes sont là, il nous arrive de ne plus nous reconnaître, on s’énerve pour un rien, on a des maux de tête de plus en plus fréquents, on a de moins en moins envie de se lever le matin. Le corps hurle de lever le pied, mais on reste sourd à ses appels. On continue comme si de rien n’était, on se dit peut-être que ça passera, puisque ça passe toujours. Mais ce n’est pas une surprise, le corps sait se faire entendre, quitte à frapper un bon coup. Et c’est lui qui, toujours, a le dernier mot. Parce que nous ne pouvons pas faire sans lui et que nous ne sommes pas de purs esprits désincarnés. On a tendance à oublier ou plutôt à déformer jusqu’à en faire une injonction envahissante la nécessité de cultiver un esprit sain dans un corps sain, comme le professait déjà le romain Juvénal au 1er siècle de notre ère. Il y a presque 2000 ans !

Alors allons-y pas à pas. Essayons de mieux comprendre ce qui se passe lorsqu’on est stressé, les symptômes de la souffrance au travail engendre et, par là même, les signes internes qui nous permettront de nous rendre compte que, peut-être, nous sommes stressés et les signes extérieurs qui nous permettront de déceler chez un collègue un stress chronique et de prendre les mesures nécessaires pour lui venir en aide avant qu’il ne se retrouve en burn-out. Car l’enjeu pour tous est là : éviter le craquage, et ses impacts néfastes pour soi et pour son entourage. Un défi de taille en cette période de crise sanitaire où les troubles psychosociaux s’intensifient.

LE STRESS, UN MÉCANISME NATUREL AYANT UN IMPACT SUR NOTRE SANTÉ​

Définissions tout d’abord le stress​

Nous l’avons dit dans notre article recensant les causes possibles du stress en général et du stress au travail en particulier, la souffrance au travail est avant tout un mécanisme naturel. C’est le “mode survie” enclenché par notre corps, une réponse de l’organisme quand se présente un danger, une contrainte, quand on ne se sent soudain plus en sécurité dans son environnement. Répétons-le, en soi, le stress n’est donc pas pathologique et ne pose pas de problème. Il est même là pour nous aider à sauver notre peau, à nous montrer prudent ou à prendre nos jambes à notre cou. Il est certainement le même que celui que ressentaient nos ancêtres préhistoriques face à un mammouth et qui leur permettait de mobiliser l’énergie nécessaire pour chasser celui-ci ou partir en courant.

Explorons tout d’abord ce qu’il se passe dans le corps d’un point de vue chimique.

Ce qu’on appelle la souffrance au travail résulte d’une réaction hormonale en chaîne.

Que se passe t’il lorsque l’on stress ? ​

Vous passez à la Poste en coup de vent avant de rentrer à la maison, pour aller récupérer un colis dont vous avez absolument besoin tout de suite. Vous devez être chez vous à l’heure pour prendre le relais du baby-sitter qui vous a signifié qu’il ne pouvait pas rester une minute de plus aujourd’hui. A la Poste, il y a la queue, comme d’habitude, ça s’éternise. Vous auriez dû vous en douter, c’est toujours la même chose, mais pourquoi donc avez-vous décidé d’aller chercher votre colis, alors que vous n’en aviez pas vraiment le temps. Vous êtes traversé d’une foule de pensées de ce type. Il vous semble que la personne au guichet met des plombes à servir les clients qui, eux aussi, mettent des plombes à faire leur demande et, en plus, racontent leur vie. Même si on est loin de l’homme préhistorique face à son mammouth et de son enjeu de vie ou de mort, vous êtes clairement dans une situation de stress.

Plusieurs hormones se succèdent alors en cascade dans votre corps pour mettre en état d’alerte les grandes fonctions de votre organisme :

  • l’ACTH ou hormone corticotrope
  • le cortisol
  • l’adrénaline
  • l’ocytocine
  • la vasopressine

Cela se traduit notamment par :

  • Une accélération du rythme cardiaque : vos battements cardiaques augmentent et pompent plus de sang en direction de vos muscles.
  • Une accélération de la respiration : les poumons, la gorge, les narines s’ouvrent en grand pour laisser entrer plus d’air. Il y a plus d’oxygène dans votre sang.
  • Une élévation de la pression artérielle : vos veines se dilatent pour faciliter le flot de sang vers le cœur et l’oxygéner.
  • Une exacerbation des sens : les pupilles se dilatent, par exemple, pour augmenter votre vision.
  • Une interruption de la digestion : les vaisseaux sanguins de l’estomac, de l’intestin et des reins se contractent. La bouche s’assèche et la vessie et les intestins ne fonctionnent plus normalement.
  • Les glandes sudoripares s’activent pour faire baisser la température du corps par la transpiration.

Vous voyez que l’ensemble du corps se mobilise. Son objectif est de sortir de la situation dans laquelle il se trouve.

Ce stress se décompose en 3 phases, elles aussi déjà évoquées dans notre article précédent sur les causes du stress :

Les différentes phases de souffrance au travail

  1. La phase d’alarme pendant laquelle les hormones citées ci-dessus sont libérées pour permettre au corps de réagir au stimulus stressant. Vous prenez acte que vous allez avoir du retard, alors que ce n’est pas possible et que le baby-sitter vous l’a spécifié.
  2. La phase d’adaptation pendant laquelle l’organisme cherche à rétablir son équilibre interne. Les signaux physiques s’atténuent. Vous parvenez à vous calmer un peu et à réfléchir à l’attitude à adopter. Peut-être vaut-il mieux passer à la Poste à un moment plus propice, prévenir le baby-sitter, appeler la voisine, quelqu’un de confiance… ? 
  3. La phase de retour au calme pendant laquelle le corps retrouve son énergie normale et réintègre sa zone de confort. Vous avez finalement décidé de renoncer et rentrez chez vous, peut-être un peu frustré, mais vous savez que vous serez à l’heure et qu’il n’y aura pas de problème. 

Les contraintes ou agressions qui entraînent cette réaction en chaîne peuvent être de 3 ordres :

  • physiques (pollution sonore, embouteillages…)
  • psychiques (la pression que l’on se met pour travailler plus vite, un challenge perso ou pro…)
  • émotionnelles (une rencontre imprévue, l’ex que l’on croise dans la rue par exemple…)

Le stress ponctuel VS le stress chronique

Le stress ponctuel est donc une résistance qui se met en place pour faire face à une situation. Mais cet état ne doit pas durer, le corps n’est pas fait pour cela. Lors de la phase de retour au calme, ce dernier retrouve son état habituel. Il est à noter toutefois que vous aurez peut-être besoin de décharger le trop-plein d’énergie venue vous prêter main-forte. Renoncer à faire la queue à la Poste demande peut-être un peu moins d’énergie que de courir se cacher dans une grotte pour échapper à un mammouth.

Là où les choses se corsent avec le stress, c’est quand cette phase de retour au calme ne survient plus. La souffrance au travail commence alors à poser problème. On reste constamment ou presque dans un état où la contrainte, qu’elle soit réelle ou perçue comme telle, nous paraît supérieure aux ressources dont nous disposons (là encore, ressources réelles ou estimées).

Une petite voix à l’intérieur continue de nous répéter que nous n’y arriverons pas. S’installe alors un stress dit chronique. Le corps entre en résistance et ne s’arrête plus de sécréter du cortisol à haute dose, ce qui génère, à terme, des troubles qui peuvent être d’ordres corporels, émotionnels, cognitifs ou comportementaux.

C’est à ces troubles que nous allons nous intéresser puisqu’ils sont les signes extérieurs que quelque chose cloche. C’est sur eux que nous devons porter toute notre attention. Ils agissent comme un signal d’alarme, que nous soyons nous-mêmes victime de stress chronique ou témoin d’une personne victime de stress chronique, notamment dans le cadre professionnel.

En apprenant à reconnaître les signes d’une souffrance au travail, en soi ou chez les autres, on se donne la possibilité de contrecarrer ce stress, de prendre les mesures nécessaires et peut-être même vitales avant le burnout, puisqu’au risque de se répéter l’ultime stade du stress chronique est le burnout. Un dirigeant, un manager soucieux du bien-être de ses équipes doit pouvoir identifier des signes extérieurs de souffrance au travail afin de pouvoir intervenir et proposer des solutions efficaces en concertation avec le salarié qui, non seulement en est victime, mais qui, probablement, s’en défend pour ne pas paraître vulnérable ou incompétent. Car, oui, dans une société où la performance prime sur le bien-être, on en arrive à nier, consciemment ou inconsciemment, les symptômes de son propre stress. Et vous savez quoi ? Avoir le sentiment de devoir cacher ses émotions dans le cadre professionnel est… source de stress.

LA LISTE DES SYMPTÔMES DU STRESS

Rien ne vaut l’observation et l’attention à l’autre. Plus vous observerez et reconnaîtrez chez vous les effets que produit le stress, plus vous serez à même de les identifier chez les autres. Pour prévenir les risques liés à la souffrance au travail au sein de vos équipes, que la cause de la souffrance au travail soit extérieure à la vie professionnelle parce que le salarié traverse un moment délicat dans sa vie privée ou que le stress puise directement sa source au bureau pour le dire vite, il vous faudra prêter attention à une multitude de symptômes possibles, qui, bien sûr, peuvent se combiner entre eux.

Nous avons listé les symptômes de la souffrance au travail les plus fréquents.

Ils peuvent se répartir en 4 grandes familles :

Symptômes physiques

Ils sont peut-être les plus faciles à appréhender, quoique… Parfois, ils sont si bien installés qu’on ne sait plus pourquoi ils sont là. Et puis n’oublions pas cette tendance que nous pouvons avoir parfois à nous couper de notre propre corps ou à mettre sous le tapis les signaux qu’il nous envoie. Dans ces cas-là, bien souvent, le corps intensifie les symptômes jusqu’à se faire entendre.

Et si nous apprenions à l’écouter avant qu’il ne nous force à l’arrêt ? Vous allez le voir, les symptômes physiques du stress sont très variés. Ils peuvent aller d’une tension musculaire dans le dos ou au niveau des mâchoires à des troubles du sommeil. Bien sûr, la manière exacte dont le corps de chacun réagit au stress et la quantité de stress nécessaire pour déclencher des symptômes physiques est hautement individuelle, mais une liste publiée en 2013 dans la Harvard Review of Psychiatry identifie ceux qu’il convient de surveiller. On ne pense pas toujours au stress quand on consulte son médecin pour de tels symptômes.

Voici une liste non exhaustives :

    • Tensions à différents endroits du corps, dans le visage (front, mâchoires…), dans les mains (poings serrés, par exemple), dans les cervicales…
    • Douleurs, souvent liées à ces tensions : maux de tête (la forme la plus courante de céphalée est la céphalée de tension qui est un signe caractéristique de stress), de dos, de ventre, douleurs musculo-squelettiques…
  • Tremblements
  • Perte ou prise de poids
  • Baisse de l’immunité : les hormones du stress peuvent affaiblir le système immunitaire. On contracte alors constamment des maladies bénignes, telles qu’une toux ou des rhumes.
    • Allergies et démangeaisons : lorsque le système immunitaire est inhibé, nous pouvons devenir hypersensibles aux allergènes. Le stress rend également plus vulnérable à l’inflammation, qui peut également entraîner des éruptions cutanées et de l’eczéma.
    • Incapacité à rester en place, besoin constant de bouger, de remuer les jambes
    • Sensation de boule dans l’estomac ou de gorge nouée, sensation d’oppression
    • Bouffées de chaleur, frissons
  • Palpitations
    • Vertiges, étourdissements
    • Respiration courte et haute
    • Problèmes de digestion : digestion lente ou difficile, brûlures d’estomac, constipation, diarrhée…
    • Nausées, vomissements : la souffrance au travail peut entraîner une hypersensibilité de l’intestin et déclencher une réaction similaire à celle que l’on observe lors d’une intoxication alimentaire ou d’une gastro-entérite.
  • Coups de pompe fréquents
    • Troubles du sommeil (difficultés d’endormissement, réveils nocturnes, réveils prématurés…) : le système nerveux sympathique, qui est activé par le stress, nous maintient en éveil.
  • Baisse du désir sexuel
  • Difficultés à uriner : les muscles du sphincter qui gardent notre vessie fermée peuvent être sur-stimulés par le stress, ce qui rend la miction difficile lorsque nous sommes trop tendus.

Vous voyez la liste est longue ! Notre corps parle une langue complexe ! Bien sûr ses symptômes peuvent avoir une toute autre cause que le stress ou être multifactoriels, mais ne négligeons pas les effets de la souffrance au travail sur notre santé.

Symptômes émotionnels

  • Une inquiétude permanente ou élevée
  • L’impression d’être tout le temps à cran, à fleurs de peau ou toute autre expression du même type, bref l’impression d’être irritable
  • Un sentiment d’isolement, de solitude
  • Une tristesse généralisée
  • Une humeur instable et soumise à tout un tas de petits riens
  • Un sentiment de frustration
  • Un sentiment de blocage
  • Un sentiment de vide

Symptômes comportementaux

  • Un manque d’envie généralisé. Le moindre effort coûte beaucoup.
  • La procrastination (on pourrait écrire une thèse sur la procrastination, mais elle figure en bonne place dans la liste).
  • Des habitudes nerveuses qui vont de se ronger les ongles à taper du pied en passant par se mordre l’intérieur des joues, agiter les jambes, etc.
  • Troubles du comportement alimentaire : manger trop ou pas assez, sauter des repas, grignoter en permanence…
  • Des réactions démesurées face aux imprévus.
  • Le recours plus fréquent à des substances (alcool, cigarette, médicament…)
  • Une agitation fréquente.
  • De grands mouvements d’impatience.

Smptômes cognitifs

  • Des troubles de la mémoire
  • Des difficultés de concentration
  • Une perte d’objectivité
  • Un pessimisme ou inquiétude généralisés

Oui, le stress chronique, la souffrance au travail installée, qui dure, peut faire tout ça ! Avec une telle liste, il apparaît évident qu’il est primordial de le prendre en compte, n’est-ce pas ? Avant qu’il ne conduise à l’épuisement !

REPÉRER LES SIGNES DE STRESS ET DE SOUFFRANCE AU TRAVAIL DANS VOTRE ENTREPRISE

Vous êtes maintenant, à titre individuel, un expert en causes de stress (voir notre article précédent sur les causes de la souffrance au travail renforcées par la crise sanitaire) et en symptômes causés par le stress, attachons-nous maintenant au stress au travail et aux indices que vous pouvez saisir pour débusquer un collaborateur stressé ou une situation de stress récurrente dans l’entreprise.

Les signaux individuels

À quels signaux individuels prêter attention en tant que manager soucieux du bien-être de ses collaborateurs ?

  • Aux manifestations d’épuisement
  • Aux erreurs ou aux oublis inhabituels
  • Au dénigrement (de son propre travail ou de celui des autres), à la dévalorisation de son travail et de ses compétences
  • Aux changements de comportement
  • Aux conflits récurrents : le ton qui monte lors d’une réunion entre deux personnes, un collaborateur qui s’emporte fréquemment.

Un employé dont le comportement change, que vous ne “reconnaissez pas”, cela peut être le signe que quelque chose ne va pas, qu’il se sent soumis à une pression trop importante. Ces changements peuvent être de différentes natures : il s’investit moins dans son travail et prend plus de temps libre, il arrive plus tard, il est agité, nerveux… Il a des sautes d’humeur, se montre tout à coup renfermé, démotivé, il semble avoir perdu confiance en lui, il est plus sensible. Vous avez, par exemple, une discussion en tête à tête – ou en visio, adaptons-nous au contexte – avec Marc et quand vous lui faites une remarque que vous pensez anodine, vous voyez qu’il a les larmes aux yeux.

Les indicateurs d’alerte au niveau de l’entreprise

Si le travail dans l’entreprise est générateur de souffrance au travail pour un grand nombre de salariés, les indicateurs peuvent être de plusieurs ordres : 

  • absentéisme ou présentéisme excessif
  • baisse de la qualité du travail
  • dégradation des relations sociales
  • accidents du travail
  • turn-over. S’il est important il peut être le signe que les salariés ne tiennent pas le choc dans cette entreprise.

Débusquer la souffrance au travail quand le salarié est en télétravail peut s’avérer compliqué. Le télétravail complique la tâche du manager. Celui-ci aura besoin de renforcer son attention aux moindre signes à travers la vidéo. Il peut aussi y avoir des indices technologiques du stress et de la souffrance au travail : un salarié qui éteint systématiquement sa vidéo en réunion, si ce n’est pour des préoccupations écologiques, le fait peut-être parce qu’il ne se sent pas au mieux de sa forme.

Plus les salariés seront encouragés à parler de leurs difficultés sans crainte, plus tôt seront perçus les indices d’un stress chronique, plus tôt des mesures pourront être prises pour y remédier, mieux la situation sera gérée et moins l’impact sera lourd pour l’entreprise.

Nous avons des solutions à vous proposer. Nous avons longuement planché sur la question : les contenus et les services que nous proposons, en constante évolution, sont là pour répondre à vos besoins.

Vous vous sentez perdus, dépassés, entre tous les symptômes, toutes les causes possibles de la souffrance au travail, les effets de la crise sanitaire qui a fait exploser les compteurs à tous les niveaux et notamment les chiffres du stress et du mal-être des français ?

Nous avons des solutions à vous proposer. Nous avons longuement planché sur la question : les contenus et les services que nous proposons, en constante évolution, sont là pour répondre à vos besoins.

Lily facilite la vie a fait de la gestion du stress et de la souffrance au travail une de ses spécialités.

Comment débusquer le stress en télétravail ?

Nous accompagnons les entreprises soucieuses du bien-être de leurs salariés et de leur équilibre vie pro/vie perso, garant d’une forme de sérénité. Les outils que nous avons développés, du diagnostic à la proposition de solutions concrètes s’étalent sur un large éventail qui permet à chacun de trouver la solution qui lui convient. Une équipe de care managers, formée aux risques psychosociaux liés à la souffrance au travail, peut intervenir dans les situations les plus délicates et venir en aide aux salariés les plus fragiles, quelle que soit la source de cette souffrance au travail. Nos experts animent des ateliers dans l’entreprise pour créer une prise de conscience collective et un travail commun autour de problématiques diverses qui, bien souvent, constituent des stresseurs (devenir parents, devenir aidant…)

Notre but est que chaque salarié puisse s’épanouir au sein de l’entreprise dans laquelle il évolue et puisse y exprimer son plein potentiel, pour que la relation au travail soit une relation gagnant-gagnant, pour le salarié et pour l’entreprise qui l’emploie.

Partager via

Ne ratez aucun nouvel article

Découvrez nos conseils pratiques sur l’accompagnement collaborateur dans votre boîte mail !